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Maladie
10/02/2008 19:42
Mon corps se rebelle à nouveau
les douleurs sont de retour dans mon dos
je n'en peux plus de vivre comme ça
Il y en a mare, j'ai trop mal
Je ne suis pas défaitiste, je sais que demain
elles seront peut être parties
mais je dois souffrir, et je ne sais plus pourquoi
je ne crois pas avoir jamais compris pourquoi !
lili
artiste : The trafic thrust of me
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une soirée comme une autre
10/02/2008 01:03
C'est une soirée comme une autre, je me rends chez ma soeur, elle n'habite pas loin alors je m'y rends à pied. Je sais ce n'est pas prudent, maman me le répète souvent, la nuit on ne sait jamais, il faut se méfier... Je sais tout cela, elle me bassine avec ses peurs, je connais ce chemin par coeur et ce n'est pas loin, juste une question de 5 ou 10 minutes. Les lumières de la rue renvoient des ombres, plus ou moins drôles sur les trottoirs désertiques de notre petit village, Sabine habite juste là bas, à droite au bout d'un chemin de campagne, comme il y en a tant de par chez nous, entouré d'arbres qui en ce soir d'hiver sont nus et menaçant, on les croirait vivants. J'arrive, je tourne dans le chemin, d'ailleurs je vois les lumières au loin, les lumières de sa maison. Mais il y a une voiture garée devant! Nous devions être seules ce soir, c'est notre soir ! Qu'est-ce qu'elle a encore été inventer ? Ah Sabine, encore un de tes invités de dernière minute, surement un mec à me présenter! Elle est toujours à vouloir me caser avec le premier guignol venu ! Moi qui voulais discuter devant un bon verre, enfin ... J'arrive, plus que quelques mètres....
Un sentiment étrange monte en moi, comme une angoisse. Pourquoi la porte de Sabine est ouverte ? Elle est bien imprudente, même si elle n'est pas seule, c'est retiré par ici, on ne sait jamais. Voilà que je me prends pour maman maintenant ! "Sabine, Sabine, je suis là, où te caches tu la grande, coucou, Sabine ? Sabine ?" j'avance dans l'entrée, le vestibule, le salon, personne, la cuisine, toujours personne "Sabine?" mais où se cache-t-elle ? Je monte à l'étage. J'hésite. Elle n'ai pas seule puisqu'il y a une voiture inconnue dehors dans la cours, je vais peut être déranger, ce guignol n'est peut être pas pour moi, apres tout elle aussi est célibataire ! "Sabine", "Sabine, tu es là, tu es déçante ?", j'ouvre doucement la porte de sa chambre, et passe la tête. Mes yeux se posent sur le sol tout d'abord, je vois une trace, une trace rouge, étirée, je suis son cheminement et elle s'élargie de plus en plus, c'est une mare de sang. Elle est là , sur le sol, toute blanche dans cette mare rouge. Elle est là les yeux ouverts avec ce sourire crispé sur les lèvres, elle est là ma soeur, elle est là.............................................
""SABINEEEEEEEEE !!!!!!!!!""Sabine", "sabine", "sabine", "non, non pas toi", "sabine"................................................................
Elle est dans mes bras, je la caresse, elle est si froide, si douce aussi, je ne peux la regarder dans les yeux, mais je n'ose pas toucher son visage, je ne peux que la serrer dans mes bras et pleurer, pleurer, pleurer. . .
Elle a été poignardée, j'ai bien vu, bien senti. Qui a pu faire une chose aussi horrible........mon dieu, la voiture! la voiture! il est peut être encore là, à m'observer, ......du calme Isa, du calme, respire un bon coup, reprends tes esprits, il est peut être là mais tu ne vas pas le laisser faire, tu sais te défendre, le tout est de reprendre ton calme.
Je te repose ma Sabine, je te repose là pour un instant, sans te quitter des yeux, ma soeur est morte, ma soeur est morte, bon sang Isa calme toi. Je te repose là. Il me faut sortir d'ici et appeller de l'aide, je ne dois pas prendre de risques inutiles, il faut sortir d'ici. Je reprends donc l'escalier, mon coeur bats la chamade, mes yeux me brulent, je ne vois pas clair, je suis dans le couloir, il n'y a pas de bruits, aucun bruits. Je suis dehors. Je n'avais pas remarqué qu'il faisait si sombre tout à l'heure. Je cours maintenant, il ne me reste que quelques mètres avant d'arriver à la prochaine maison, quelques mètres. Il y fait noir, je frappe, sonne, pas de réponse, je refrappe, resonne, toujours rien, je ne suis pas tranquille, tout ressemble à une menace, comme cet arbre derrière moi, je suis sur de l'avoir vu bouger ! je sonn...La porte s'ouvre, une lumière, un salut.
Monsieur Vousu me regarde, surpris, il faut dire que je suis recouverte de sang et que je dois avoir une tête de déterrée. "bonsoir Isabelle, mais que t'arrive-t-il?" "Sabine, Sabine, elle est morte, on l'a tuée !" "Sabine, mon dieu, mais entre voyons entre" "Je dois appeler la police, il y a encore ce véhicule devant chez elle, son assassin doit encore être là bas, il faut que je les appelle" "Mais bien sure, assis toi là, je t'apporte le téléphone", je me sens soulagée, en sécurité. Mais une douleur infinie commence à se frayer un chemin en moi, ce chagrin, cette peine, oh Sabine... Monsieur Vousu est derrière moi et je sens un chose froide traverser mon corps encore et encore, c'est son couteau, je ne cris même pas, je ne réagis pas, je suis là et je ne suis plus là, je comprends tout mais il est trop tard, je ne suis plus là....... je n'aurais pas le temps de souffrir.......
auteur : Gothique-lili
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ceci est une fiction
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un inconnu dans le jardin
08/02/2008 22:35
Mon dieu, il y a un inconnu dans le jardin ! Il avance, doucement, prudemment, il faut dire qu'il fait nuit noire. Malgrès tout je le vois, oui, je le vois, je suis perchée sur ma branche et je le regarde avancer, vers la maison. Je l'ai vu arriver dans sa voiture même qu'il avait éteind les lumières qui éclairent la rue et m'éblouissent quand je suis trop près. Je n'ai pas peur, il ne m'a pas vu. Dans la maison, il y a de l'activité, ils sont en train de se coucher, ils ne se rendent pas compte de ce qui est en train de se tramer. Il est tout près maintenant, il se fauffile le long des murs et épient leurs faits et gestes par les fenêtres. Les lumières s'éteignent les unes après les autres. Je me rapproche silencieusement, il ne m'a toujours pas remarquée. Je le vois, il sort ses outils, de petites lamelles de métal qu'il glisse dans la serrure, en un coup de main, il est entré ! Personne ne le remarque à l'intérieur, ce qui lui laisse le champ libre. Il ressort avec son butin, fier de lui, en silence. Mais je suis toujours là, cachée dans le noir, j'attend qu'il se rapproche, il arrive sous ma branche...L'attaque est fulgurante, je le pique aux yeux, sur la tête, sur le nez... il est si étonné qu'il ne se défend pas tout de suite, j'ai à mon tour le champ libre, je crouasse, je pique, il a peur, mal , fuit... Mais dans sa fuite il m'a laissé un cadeau, la bague en rubis qu'il avait pris un peu plus tôt sur la table de la maison et qui luisait tant !
Il est reparti avec son butin et moi avec le mien !
Auteur : Gothique-lili
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ceci est une fiction
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~~~~blue lagon~~~~
08/02/2008 22:30
N'est-elle pas magnifique en bleu ?
artiste : Girltripped / titre : Got my red glitter cofin
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~~~~I give you my heart~~~~
07/02/2008 23:48
Je sais que tu l'aimes, que c'est la prunelle de tes yeux, mais je t'en supplis mon amour, mon fils adoré, ne prends pas les choses au premier degrès, donnes lui ton coeur métaphoriquement, elle n'a que faire d'un mort comme fiancé !
Je te sens près à tout pour lui plaire mais je ne suis pas certaine que tu prennes le bon chemin pour arriver jusqu'au sien de coeur.
Ne lui offres pas de fleurs, à moins qu'elles soient noires, donnes lui plutôt un baiser fougeux et un geste tendre chaque jour que vous aurez le bonheur de passer ensemble.
Et n'oublies surtout pas de donner en même temps que ton coeur, ton âme à celle que tu chériras tout le reste de ton existence
(métaphoriquement cela va de soit !)
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